Cette souffrance se caractérise selon l’UNAFAM par un « déficit relationnel, des difficultés de concentration, une grande variabilité dans la possibilité d’utilisation des capacités alors que la personne conserve des facultés intellectuelles normales ».
Le handicap psychique survient généralement en fin d’adolescence au décours d’une difficulté stressante à surmonter pour la personne.
Il impacte la pensée sous formes de perturbations. L’imaginaire est très développé voire envahissant. Les hallucinations auditives et visuelles peuvent altérer la concentration, l’attention et la mémoire. La pensée peut être désorganisée. Des troubles addictifs sont parfois associés.
Souvent, une aide médicamenteuse est nécessaire et contribue à apporter une stabilité psychique.